Biophysique économique - une importante étude des ressources commandée par l'ONU
Important, une étude scientifique sur la transition énergétique, son impact sur l’économie et les solutions, est commandée par les Nations Unies.
Le groupe international de scientifiques et d’économistes est unanime sur le changement de style de vie qui va s’imposer, sur le transport, la construction (ie matériaux, mais aussi façon de concevoir les villes), et l’agro-alimentaire.
Au-delà de ces pistes pour réduire l’impact éco-logique, cela veut dire que la « croissance infinie » n’est plus tenable, et, pour le moment, aucun modèle éco-nomique alternatif global n’est envisagé.
C’est ce qui selon l’étude crée l’instabilité politique et économique actuelle.
Pour les solutions économiques, des pistes existent parmi lesquelles
l’économie circulaire, mais qui se base sur une décroissance. Cela
voudra dire que tout coûtera beaucoup plus cher et que notre style de
vie deviendra plus minimaliste.
Il y a aussi la piste de l’économie basée sur la valeur d’usage qui n’est pas citée dans l’article : une voiture n’est pas payée pour les matériaux et la main d’œuvre, mais pour la mobilité qu’elle apporte à chaque personne qui l’utilise. Cela implique donc une maximisation de son usage, donc c’est écologique, et permet de maintenir la croissance.
Cette théorie je l’ai lu dans un livre qui date de 1997 écrit par Pierre Lévy (rien à voir avec Marc Lévy), « Qu’est-ce que le virtuel », où cette théorie devient possible quand on a des moyens digitaux pour vendre cet usage.
Conclusions :
• prendre l’habitude d’acheter plus cher des choses plus durables, d’en acheter moins, de les faire utiliser au maximum par un maximum de gens (blabla car, drivy...)
• réduire son impact écologique : réduire les déplacements en privilégiant l’électrique et les TP, trier, acheter des choses avec un minimum d’emballage plastique de préférence carton et verre, bouffer moins de viande... les classiques.
Rien d’insurmontable si on veut bien faire un petit effort, et au passage on rencontre des gens sympa (cf location de biens) !
Mais par contre c'est maintenant, sinon ça sent le gros chaos politico-économique, qui a déjà commencé.
L'article de Vice.
Il y a aussi la piste de l’économie basée sur la valeur d’usage qui n’est pas citée dans l’article : une voiture n’est pas payée pour les matériaux et la main d’œuvre, mais pour la mobilité qu’elle apporte à chaque personne qui l’utilise. Cela implique donc une maximisation de son usage, donc c’est écologique, et permet de maintenir la croissance.
Cette théorie je l’ai lu dans un livre qui date de 1997 écrit par Pierre Lévy (rien à voir avec Marc Lévy), « Qu’est-ce que le virtuel », où cette théorie devient possible quand on a des moyens digitaux pour vendre cet usage.
Conclusions :
• prendre l’habitude d’acheter plus cher des choses plus durables, d’en acheter moins, de les faire utiliser au maximum par un maximum de gens (blabla car, drivy...)
• réduire son impact écologique : réduire les déplacements en privilégiant l’électrique et les TP, trier, acheter des choses avec un minimum d’emballage plastique de préférence carton et verre, bouffer moins de viande... les classiques.
Rien d’insurmontable si on veut bien faire un petit effort, et au passage on rencontre des gens sympa (cf location de biens) !
Mais par contre c'est maintenant, sinon ça sent le gros chaos politico-économique, qui a déjà commencé.
L'article de Vice.
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